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La réalité de la justice prudhommale est que les conseillers prudhommaux ne sont pas des professionnels. Il s'agit d'élus, pour moitié de représentants des salariés et pour moitié de représentants patronaux.Oloron a écrit :L'Aviron condamné aux prud'hommes pour le licenciement de Battut
https://www.sudouest.fr/pyrenees-atlant ... 277096.php
Moralité les gars peuvent faire n'importe quoi, on ne peut pas les virer
Oloron a écrit :L'Aviron condamné aux prud'hommes pour le licenciement de Battut
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Moralité les gars peuvent faire n'importe quoi, on ne peut pas les virer
L'Eclair a écrit :La réalité de la justice prudhommale est que les conseillers prudhommaux ne sont pas des professionnels. Il s'agit d'élus, pour moitié de représentants des salariés et pour moitié de représentants patronaux.Oloron a écrit :L'Aviron condamné aux prud'hommes pour le licenciement de Battut
https://www.sudouest.fr/pyrenees-atlant ... 277096.php
Moralité les gars peuvent faire n'importe quoi, on ne peut pas les virer
Dans les faits les décisions sont souvent plus politiques que juridiques et le reflet de négociations entre les 2 collèges. Si un salarié passe après un grand nombre de décisions favorables pour les salariés il y a un vrai risque qu'il ait une décision contraire (en rugby on dirait un rééquilibrage des décisions 50/50). Donc on ne peut pas se faire une opinion sur la première instance.
psyvert a écrit :Le type cogne un infirmier censé soigner son copain, il est condamné à du sursis (belle jambe) et à 3000 balles à verser au soignant et gagne 82000 euros contre son club... Bénéf 79000 le coup de poing qui rapporte....
J'ose espérer qu'il y aura un appel et qu'il perde...
Dans un monde idéal je verrais bien que s'il devait gagner la somme ne lui soit pas attribuée mais versée à un hosto pour acheter des climatiseurs par exemple (puisqu'il n'y en a pas)
Mais le monde idéal c'est aussi celui de oui oui!!!
psyvert a écrit :Le type cogne un infirmier censé soigner son copain, il est condamné à du sursis (belle jambe) et à 3000 balles à verser au soignant et gagne 82000 euros contre son club... Bénéf 79000 le coup de poing qui rapporte....
J'ose espérer qu'il y aura un appel et qu'il perde...
Dans un monde idéal je verrais bien que s'il devait gagner la somme ne lui soit pas attribuée mais versée à un hosto pour acheter des climatiseurs par exemple (puisqu'il n'y en a pas)
Mais le monde idéal c'est aussi celui de oui oui!!!
psyvert a écrit :Le type cogne un infirmier censé soigner son copain, il est condamné à du sursis (belle jambe) et à 3000 balles à verser au soignant et gagne 82000 euros contre son club... Bénéf 79000 le coup de poing qui rapporte....
J'ose espérer qu'il y aura un appel et qu'il perde...
Dans un monde idéal je verrais bien que s'il devait gagner la somme ne lui soit pas attribuée mais versée à un hosto pour acheter des climatiseurs par exemple (puisqu'il n'y en a pas)
Mais le monde idéal c'est aussi celui de oui oui!!!
McCaw a écrit :Non mais la somme dont on parle, elle va être négociée j'espère.
Parmi les recrues phares, l’international argentin Santiago Chocobares attire tous les regards. Centre puissant, technique et déjà habitué au très haut niveau avec les Pumas, il devrait apporter une solidité défensive précieuse et une créativité offensive bienvenue. Son intégration dans le collectif bayonnais est très attendue, d’autant plus qu’il pourrait être la pièce manquante du puzzle au centre du terrain. À ses côtés, un autre nom international fait son arrivée : le troisième ligne australien Rob Valetini. Son profil physique et sa science du placement en font une recrue de poids pour dominer les zones de contact.
Mais l’Aviron ne mise pas tout sur des noms établis. Un œil est aussi porté sur la jeunesse, à commencer par le prometteur Baptiste Heguy, déjà cadre du club malgré son jeune âge. Produit pur de la formation bayonnaise, ce troisième ligne est désormais bien plus qu’un espoir : il est un maillon essentiel du projet. À seulement 25 ans, il incarne à merveille la philosophie du club : enracinement local et ambition nationale. Son abattage sur le terrain, sa lucidité et sa régularité font de lui l’un des visages du renouveau bayonnais.
Dans les cages, les supporters scruteront avec attention les prestations du jeune talonneur Théo Attissogbé, issu du centre de formation. Promis à un bel avenir, il a déjà montré de très belles dispositions lors de ses premières apparitions en Top 14. Son engagement, sa précision en touche et sa mobilité en font un joueur à fort potentiel qui pourrait rapidement s’imposer comme titulaire s’il continue sur cette lancée.
Enfin, tous les projecteurs seront braqués sur Léo Barré, arrière ou ouvreur, recruté en provenance du Stade Français. Annoncé comme une promesse du XV de France, il pourrait être la grande révélation de la saison. Doté d’un jeu au pied solide, d’une vista rare et d’un sang-froid impressionnant pour son âge, Barré représente une vraie valeur ajoutée à l’effectif de Grégory Patat. S’il parvient à exprimer pleinement son talent sous le maillot ciel et blanc, il pourrait non seulement propulser Bayonne plus haut encore, mais aussi frapper à la porte des Bleus pour de bon.
Avec ces profils variés et complémentaires, Bayonne affirme son ambition de s’installer durablement dans le haut du tableau. L’engouement populaire autour du club, couplé à une vision de jeu claire et à une politique de recrutement ciblée, pourrait faire de cette saison un tournant dans l’histoire moderne de l’Aviron. Une chose est sûre : ces cinq joueurs seront scrutés de très près.
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