L’intérêt du sujet investigué par le très sérieux journal tient au fait que Le Monde a également pris connaissance du document préparatoire au contrat d’image initialement prévu avec le joueur. Contrats tout à fait valable mais dès lors qu’ils sont assimilés et réintégrés dans la masse salariale des clubs.
Or, pour négocier, le Monde nous apprend que Robert Mohr utilisait deux adresses électroniques distinctes. Celle du Stade français, son adresse professionnelle, pour envoyer le précontrat classique. Et son adresse personnelle, pour discuter du contrat de droit à l’image et le faire ainsi échapper au calcul de la masse salariale vérifiée par la DNACG....
Chacun notera que R Mohr, pourtant le plus proche et fidèle du Teuton vendeur de jus de fruits, a vite été écarté du club sans qu’on sache vraiment trop pourquoi

Une occasion de plus de voir si la DNACG de la LNR est maintenant aussi crédible que celle des rosbeefs. J’ai ma petite idée sur la question sachant qu’il faut sauver le soldat rose


C’est marrant, à part le Monde, ni le journal jaune, ni l’équipe où aucun papier sportif ne parlent du sujet
